Choix et GPS : Alain Ge

photos : Serge et  Alain Gu  et commentaire : Alain Gu 

 

23 randonneurs

dans les tranchées du bois le Prêtre

 

Il fait frais (2 degrés) ce mardi après-midi du 24 janvier, mais pas assez pour décourager nos 23 participants. La marche sur le site historique et militaire du bois le Prêtre, c’est sacré. En plus nous sommes des braves comme nos soldats de 14-18.

 

 

 

 

 

 

 

 

Alors, au boulot ! c’est vers 14 heures que nous quittons la maison forestière du Père Hilarion qui doit son nom à un anachorète qui vivait à Bois-le-Prêtre au début du XIXe siècle. Nous nous dirigeons sur des anciens champs de bataille qui sont devenus des lieux de témoignage à ciel ouvert en raison des combats violents pendant la 1^ère Guerre Mondiale.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous quittons ce lieu et prenons un sentier feuillu situé en grande majorité dans la forêt, ce qui nous protège du vent très frais cet après-midi et qui nous permet d’atteindre un blockhaus.  

Cet ouvrage va nous servir pour la photo de notre passage.  Mais avant il faut trouver des escaliers ou bien des dames pour nous aider à rejoindre la plateforme.

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous sortons de ce site et nous enchaînons sur le chemin de la Mère Guerre qui longe la plus haute corniche « le front de côte » et domine Pont-à-Mousson. Nous prenons la direction de Norroy-lès-Pont-à-Mousson en admirant au passage quelques anciennes bâtisses du Haut-du-Rieupt.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En arrivant à la Croix St Urbain, nous nous arrêtons pour vénérer cette sculpture dédiée au patron des vignerons. Elle porte une tête de mort au-dessus de la croix.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Puis, nous prenons une très courte pente avec quelques passages où nous devons baisser la tête.

 

 

 

 

 

 

 

 

A l’arrivée de Norroy, Gilles « le sherpa de service » amène les sacs à provision pour le bivouac tant attendu par les randonneurs. La popote est appropriée pour se restaurer, chocolat, gâteaux, etc…

Tout va bien, alors traversons ce petit village rural en terrasse vers 15h37 sans encombre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A la sortie de commune, Alain Ge nous propose de prendre une légère montée dans une zone boisée qui mène jusqu’au stade de football. Anne-Marie J en profite pour nettoyer ses chaussures, mais la rando n’est pas finie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le retour est très agréable car nous marchons sur des sentiers praticables et plats avec un arrêt à la pierre au Jô. C’est un menhir de 2,50 m de haut, en calcaire jurassique. Quelques-uns se prennent en photo pour garder un souvenir de ce monument historique, aujourd’hui classé.

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour clore cette belle balade de 9,340 km, nous rejoignons notre point de départ, la maison du Père Hilarion, site naturel et touristique. Jacqueline N et Françoise profitent du petit ruisseau pour nettoyer leurs chaussures de marche avant de monter dans leur voiture, tandis qu’Anne-Marie s’aperçoit en déchaussant les groles que ce n’est pas les siennes mais plutôt celles de Francis. Tout devrait rentrer dans l’ordre, mais Francis repart à la maison avec deux paires de randonnées à nettoyer. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Choix et GPS : Alain Ge

photos : Danièle R, Brigitte, Serge et  Alain Gu  et commentaire : Alain Gu 

8 participants 

 

 

Les randonneurs préfèrent

manifester ce jeudi 19 janvier

dans la Petite Suisse Lorraine

 

La grève des retraites n’a pas enlevé l’envie de randonner dans la Petite Suisse Lorraine à nos 8 marcheurs dont 2 femmes. Bravo à vous mesdames !!! C’est une découverte pour la petite nouvelle Brigitte, venue rivaliser avec les mulets du jeudi.  Après avoir garé nos véhicules et enfilé difficilement les chaussures et les bottes de marche, surtout pour Alain Gu , nous débutons notre boucle du hameau St Jean qui est situé dans un trou de verdure , à un peu plus de 2 kilomètres du clocher de Martincourt.

 

Nous voilà partis en enjambant le ruisseau Saint Jacques. Pour la mise en jambes, notre animateur nous emmène dans le bois de Montjoie, dont le paysage est toujours féerique. Cette première montée nous fait découvrir une magnifique barre rocheuse, appelée « éperon ». Sur notre droite un profond tunnel a été créé par les hommes ou la nature. Nous en profitons pour faire une petite visite, tout en observant de la prudence. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour se rendre à Lironville, nous empruntons des chemins carrossables à travers bois et champs. Sur ce circuit, nous rencontrons un tracteur dont le propriétaire prépare certainement l’hiver prochain.

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous arrivons dans cette commune rurale et Alain Gu nous fait découvrir la fontaine de la petite fille au parapluie. Elle est assise sur un pilier en grès, dont l’eau jaillit du sommet du parapluie. Une scène qui ne manque pas de charme. A côté nous admirons l’ancien lavoir transformé en abri pour les écoliers attendant le car. Un chantier jeune a réalisé des trompe-l’œil sur les murs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A la sortie du petit village, nous nous enfonçons sur un chemin très boueux causé par les tracteurs agricoles. Malgré-ceci, une bande herbeuse nous permet de garder les chaussures propres. Sur le trajet, nous rencontrons un agriculteur et une dame de la Com-Com du Mad et Moselle qui creusent des trous et qui plantent des Bétulacées pour servir de haies afin de favoriser la biodiversité.

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous rattrapons une piste caillouteuse, puis nous attaquons une légère montée qui nous mène sur le plateau où nous commençons à apercevoir des miradors et non pas des chasseurs.

 

 

 

 

 

 

 

 

Direction la forêt de la Lampe sur un sentier qui nous donne la possibilité de rejoindre le bas de Mamey. Mais avant, nous ne changeons pas nos habitudes, nous faisons une pause chocolat consommé avec modération. Ces friandises nous redonnent un coup de boost pour continuer notre périple.

 

 

 

 

 

 

 

 

Après environ 2 kilomètres, nous débouchons sur le ruisseau Saint Jacques. C’est la première fois que l’on voit couler le débit  des deux buses aussi fort.

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous rejoignons un chemin promenade sur quelques mètres et par la suite nous arrivons sur la 2^ème côte. Celle-ci est plus pentue. Nous la montons tranquillement à l’allure des montagnards.

 

 

 

 

 

 

 

 

Le groupe continue à serpenter dans le bois de Fagnet qui façonne un paysage de clairières mises en scènes par des lisières forestières et des créatures insolites.

 

 

 

 

 

 

 

  

Au sommet, Marc découvre un énorme fût de bière ce qui nous donne la possibilité de nous désaltérer avant de rejoindre le gouffre de Grimo Santé, un petit paradis pour les spéléologues.

 

 

Nous pensions terminer calmement en nous engageant sur une tranchée mais rencontrons plusieurs obstacles qui n’étaient pas prévus. Pour franchir ces petites difficultés certains contournent et d’autres combinent leur physique et leur souplesse.

 

 

 

 

 

 

 

 

La dernière partie de notre parcours se fait en douceur car il descend vers le hameau de Saint Jean, lieu d’arrivée. Chacun gardera de cet après-midi un excellent souvenir. 12,590 km ont été parcourus avec des beaux dénivelés digne de grimpeurs, sans que quiconque donne le moindre signe de faiblesse.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Choix et GPS : Alain Ge

photos  et commentaire : Alain Gu 

23 participants

Randonnée citadine

pour nos 23 participants

 

Tous les mardis notre « rando douce » attire de nombreux randonneurs avec une moyenne en 2023 de 27 personnes. Ce 17 janvier, nous nous retrouvons sur le parking de l’espace Montrichard de Pont-à-Mousson. A propos savez-vous depuis combien de temps existe cette structure ? Elle a été officiellement inaugurée, après 1 an de construction, le 31 mai 2001. Elle a été dessinée par l’architecte Jésus Ramoz-Ibanez de Nancy.

 

 

 

 

 

 

 

 

Aujourd’hui, nous démarrons la visite de cette localité à pied car nous sommes des marcheurs, donc nous sillonnons principalement dans et autour de Pont-à-Mousson sous la houlette de notre animateur habituel. La traversée de cette ville se fait par des sentiers et des rues en évitant les grands axes de la circulation.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous quittons la rue du Bois-le-Prêtre en empruntant une passerelle qui enjambe le canal latéral à Moselle avec une vue sur le silo en béton de la coopérative agricole, construit en 1960. Cette structure contient 450 000 quintaux de céréales dans des cellules individuelles. Un débarcadère est réquisitionné pour permettre le transit de cette marchandise par voie fluviale. 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous rejoignons la voie bleue en direction du pont Gelot. Cette piste cyclable et pédestre ondule sur une magnifique voie verte entre l’ancien canal et la rivière de la Moselle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous nous arrêtons au niveau de l’ancienne écluse pour une photo d’ensemble avec en fond le cours d’eau.

Nous voilà reparti sur le chemin du halage qui permet de découvrir un joyau architectural du 18^ème siècle « l’Abbaye des Prémontrés », l’ancienne collégiale « l’église Saint-Martin » et des cygnes qui font signent à Henri, Gégé et Yves. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous passons sous le pont Gélot. Savez-vous qui était Paul Gélot ? Il n’est autre que l’architecte qui a dessiné le plan du nouvel ouvrage et reconstruit après son dynamitage en 1944 par les Allemands pour ralentir l’avancée des forces alliées. Cet ingénieur qui décédera avant la fin du chantier donna son nom à l’un des ouvrages d’art les plus importants et emblématiques de cette ville.

 

 

 

 

 

 

 

La balade continue sur un chemin un peu boueux et rattrapé par des petites flaques d’eau jusqu’à l’entrée de l’île d’Esch.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est un point d’arrêt pour se ressourcer, s’alimenter avec des chocolats appréciés par les participants et réaliser une photo souvenir en l’honneur de Gilles qui passait ses vacances de jeunesse dans la famille qui tenait l’écluse n° 7.

Notre promenade se poursuit au milieu des jardins partagés, le clos St Jean et le Pré-Hayer où logeaient auparavant les ingénieurs de Saint Gobain PAM. En traversant cette propriété privée, Joëlle et Claude se sont enrhumés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Notre retour se termine par le chemin de la Planchotte, puis à travers les maxouages transformés en jardins partagés. Nous terminons cette plaisante virée citadine de 9,780 km par le sentier « au-dessous de la Côte Chadevée » pour retrouver notre point de départ.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Choix et GPS : Alain Ge

photos : Serge et  Alain Gu  et commentaire : Alain Gu 

9 participants 

 

Rando chargée d’histoire

à Remenauville

 

En ce jeudi 12 janvier 2023, nous sommes 9 courageux à nous retrouver à la chapelle et les vestiges (des pierres et quelques tombes) de Remenauville. Cette petite commune de 138 âmes a été entièrement détruite à la fin de la 1^ère Guerre Mondiale. Ce village rasé sera rattaché à la commune voisine de Limey sous le nom de Limey-Remenauville car les habitants ne voulaient pas reconstruire leurs maisons (église, école et fermes).

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur ce lieu de mémoire, le petit groupe se rassemble devant la chapelle du souvenir pour la photo des adeptes de la randonnée.

Malgré ce temps maussade, nous démarrons notre rando, accompagnés d’une grenouille verte, sur le site de l’ancien patelin détruit. Des sentiers ont été aménagés à l’emplacement des anciennes rues qui sont indiquées par un panneau ainsi que la position des principales bâtisses. 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous contournons la ferme Sainte Barbe par la forêt en empruntant des chemins pas trop boueux mais ça ne va pas durer. Nous sommes rattrapés par des flaques d’eau qui se sont formées avec la pluie des derniers mois.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Aucune chute constatée par notre animateur et nous rejoignons des voies plus praticables. Marie-Yannick prend de la hauteur pour admirer le paysage mais le retour sur la terre est plus difficile, malgré la prudence de Marc.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une petite pause à la ferme d’Assoncourt avant de reprendre un train de sénateur car nous allons être confrontés à un pourcentage de dénivelé.

 

Rassasiés par les chocolats de Danièle R, Françoise et Serge, il est l’heure de repartir car la pluie fine et le vent reviennent en force jusqu’à l’agglomération de Limey. Dans ce village typiquement lorrain, nombre de maisons arborent des fenêtres de grange qui symbolisent les quatre signes des jeux de cartes (pique, cœur, trèfle et carreau).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous disons au revoir aux Liméens et poursuivons « notre balade », comme dit Alain Ge, à travers les champs agricoles, malgré le temps gris et légèrement pluvieux de cet après-midi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un dernier arrêt pour une photo de drone mais avant,

Serge et Alain Gu repèrent les lieux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un dernier passage sur un sentier herbeux et laminé d’eau où nous retrouvons une motte de terre à chaque chaussure. Nous gardons le moral car nous sommes près de notre point de départ.

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour terminer cette boucle de 11,630 km, nous remontons l’intérieur du village détruit sur les restants de la rue du Puits du Loup qui nous ramène à la chapelle. Parmi les ruines, Francis n’a pas retrouvé l’ancien café pour y boire une petite bière.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Elle été édifiée sur les ruines de l’ancienne église paroissiale dans les années 30. Malgré ce temps couvert de nuages et nébuleux, cette belle randonnée historique mérite d’intégrer notre panel de circuits.   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Choix Henri et GPS : Alain Ge

photos: Marie-Yannick, Chantal C, Chantal L, Serge et Alain Gu

et commentaire : Henri

37 participants 

 

Rois et Reines de la marche ont été couronnés

 

Les adhérents de la marche « Les Mulets » de l’association FREP Lesménils se sont retrouvés exceptionnellement pour fêter l’Epiphanie.

Un circuit en forêt de Facq d’environ une dizaine de kilomètres était proposé à l’ensemble du groupe. En début de soirée, tous se sont retrouvés à la salle socioculturelle, pour déguster la galette des rois et apprécier une bolée de cidre, accompagnée de quelques douceurs.

Une rétrospective photos sur les diverses randonnées de 2022 a été réalisée avec beaucoup d’humour par Alain Gu ainsi que la présentation sur les futurs projets de sorties découvertes pour 2023.

Cette soirée fut l’occasion de partager l’amitié, caractéristique forte de cette association, tous sont repartis enchantés et plein de bons sentiments pour cette nouvelle année.

 Henri

 

 

Bienvenue à Brigitte

 

Avant de s’élancer sur les sentiers de Lesménils, le groupe de l’association souhaite une bonne intégration à Brigitte, épouse de notre pélérin Jean-Marc, qui souhaite rejoindre « Rando’Mulets » pour découvrir les différents chemins de notre animateur Alain Ge. Elle est accompagnée de sa marraine de marche « Danièle R ». 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette montée est dure et collante !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

      Qu'est-ce qu'on rigole !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je n'ai pas chuté, j'avais un caillou dans la chaussure ....

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nos deux "chantal" en balade...

 

Dernier effort avant de déguster la galette et le cidre...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Les reines "La Jack, Monique A, Martine et Françoise" et le roi Alain Ge sont les stars de la soirée. 

Gisèle a remis un cadeau " un sécateur" à Alain Ge pour son implication dans les randonnées sous les applaudissements d'une cinquantaine de personnes.