Choix et GPS : Alain Ge

photos Chantal C et Serge - commentaire : Alain Gu

31 participants

 

Ce circuit du mardi après-midi 21 mars

conjugue nature, sites historiques et militaires.

 

C’est en grand comité (19 femmes et 12 hommes) que nous nous sommes retrouvés ce mardi après-midi à Corny-sur-Moselle pour une belle randonnée cultivée.

9,920 km de promenade sans difficulté qui permet de découvrir dans un premier temps des ruelles et des chemins situés dans un paysage de la vie rurale.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Puis à la découverte du patrimoine mosellan en passant par la commune de Jouy-aux-Arches qui a su garder son charme d’autrefois. On peut admirer encore aujourd’hui une grande partie de son patrimoine archéologique. Dix-sept arches, dont les plus élevées atteignent 25 mètres de hauteur. Cet aqueduc construit par les Romains au début du 11^e siècle est encore visible. Ces vestiges constituent un ensemble parmi les plus spectaculaires en France. A l’époque cet ouvrage d’art amenait l’eau de Gorze aux thermes de Metz.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ensuite nous rejoignons la véloroute située entre la Moselle et les beaux étangs qui régalent les promeneurs et les cyclotouristes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’arrivée est proche, mais avant nous avons droit à un parcours historique  immortalisant la bataille de Dornot-Corny du 08 au 10 septembre 1944 qui fit 945 victimes américaines en 60 heures, ce qui lui valut le surnom « d’Omaha Beach Lorrain ».  Plusieurs panneaux nous permettent de suivre le déroulement de ces heures tragiques, émaillé de photos d’époques, de cartes et surtout de témoignages de héros qui vécurent cet enfer.

 

Le dernier arrêt de cet après-midi est réservé à Aline et Claudine, assises sur le banc devant la salle des fêtes « Paul Goret ». 

 

 

 

 

Choix et GPS : Alain Ge

photos et commentaire : Alain Gu

22 participants

 

Randonnée intra-muros

sur Pont-à-Mousson

 

En ce mardi 14 mars 2023, nous sommes 22 participants sur le parking du Netto. Tout le monde est à l’heure. Les prévisions de météo pessimistes (vent et giboulées) donnent lieu à des interrogations ... Selon notre animateur, il est très encourageant d’avoir une belle participation car cet après-midi, on nous annonce des fortes rafales de vent. Au lieu de s’aventurer dans la forêt de Puvenelle, Alain Ge décide de sécuriser le parcours en restant à Pont-à-Mousson.

Nous prenons avec plaisir le petit village rural de Maidières qui a fait la une des journaux et de la télé car une ancienne habitante, décédée en 2018 avait légué toute sa fortune d’un million d’euros à la commune.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous continuons par le clos St Jacques qui permet de rejoindre Pont-à-Mousson et traverser le quartier de Boozville qui a été créé vers 1870 à l’emplacement d’un casernement prussien. Des maisonnettes accolées les unes aux autres ont des allures de village dans la ville et porte l’histoire de l’immigration d’Alsace-Lorraine.

 

 

 

 

 

 

 

 

ancien quartier de Boozville

 

 

 

 

 

 

 

 

La rando se poursuit en sillonnant dans les différents quartiers de PAM souvent méconnus (le Point-du-Jour, le clos de la Côte et le Home).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quelques enjambées plus tard et nous voilà dans le chemin des Clos avec la façade d’une maison qui permet d’admirer des anciens outils, un retour dans le passé.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avant d’arriver à la salle Montrichard, nous subissons une « giboulée » provoquant un déploiement de parapluies et de capuches. Ceci n’a pas entamé notre moral, on en a vu d’autres.

 

 

 

 

 

 

 

 

Après une petite pause gourmande (chocolats et beignets), Monique M et Mauricette ayant une priorité nous abandonnent en décidant de rejoindre leur voiture tandis que le groupe continue son périple afin d’attraper le chemin de halage de la Moselle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il y a des signes qui ne trompent pas « il fait bon vivre dans cette ville

de Pont-à-Mousson »

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous déambulons calmement, doucement et sereinement, comme en témoignent les bateliers du Mark Hardi II et du batie, au rythme du moteur d’hélice.

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous enjambons le petit cours d’eau « l’Esch » et ensuite nous prenons les 2 arches de la voie ferrée.  Il vaut mieux baisser la tête, si l’on mesure plus d’1,60 mètres, en s’y engageant. Un peu d’histoire, en 1871, une imposante construction, composée de 19 arches servait à faire s’écouler les eaux de la Moselle lors des crues dans ce passage ferroviaire.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous terminons par le Pré Hayer sur toute sa longueur et nous apercevons Martine et Jeanmi sur le balcon qui nous encouragent sous ce ciel gris nuageux accompagné d’éclaircies. Le compteur affiche 9,660 km, les marcheurs ont apprécié cette balade improvisée par Alain Ge qui se termine par la triste avenue du Général Leclerc.

  

 

Choix et GPS : Alain Ge

photos : Serge et Alain Gu et commentaire  : Alain Gu

 

5 messieurs sont à pied d’œuvre

pour une rando dans la vallée de la Woëvre

 

La météo n’est pas favorable (pluie et vent) ce jeudi 9 mars. Est-ce qu’il y aura des amateurs pour parcourir les chemins entre Domèvre-en-Haye, Manoncourt-en-Woëvre et Tremblecourt ?

Eh oui ?  Que des messieurs (Serge, Alain Ge, Jean, Marc et Alain Gu) se sont présentés pour une randonnée réservée aux hommes avec une météo mitigée mais sans pluie.

Après avoir déambulé dans la rue principale de Domèvre-en-Haye, nous gagnons le bois de Bas.

 Cette longue ligne droite représente une ancienne ligne ferrée datant de 1910 entre Toul et Thiaucourt. Appelé autrefois « le Tortillard » le chemin de fer était un moyen de transport le plus pratique. Les domapériens pouvaient se rendre à Toul en moins d’une heure pour faire leurs courses ou vendre leurs productions aux marchés. Que reste-t ’il aujourd’hui de ce chemin de fer depuis la fermeture du rail ? Un sentier de randonnée sur l’ancienne ligne que nous foulons en direction du prochain village.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avant de traverser Manoncourt-en-Woëvre, nous rencontrons le club de marche adhérent à l’ASPTT Nancy. Etant en petit nombre de chaque association, les marcheurs souhaitent se faire prendre en photo ensemble.

Un peu d’histoire de cette localité, il suffit de lire le panneau explicatif, mais il manque dans le contenu l’existence de nos trois soigneurs animaliers qui aiment s’occuper des animaux familiers.   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Nous quittons la plaine de la Woëvre par des chemins trempés qui nous obligent un petit hors-piste. Nous poursuivons notre périple sur des sentiers forestiers du bois de la Côte en Haye qui mènent à l’ancienne base aérienne 136 Toul-Rosières qui a fermé ses portes en 2004. Heureusement les sous-bois sont praticables car nous avons eu droit à notre montée. Il a fallu attendre huit ans pour que le site trouve une nouvelle activité. Désaffectée en 2012, cette base est reconvertie en centrale solaire photovoltaïque qui alimente en électricité 60 000 personnes + en 2020 un conservatoire de la base aérienne 136.   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous contournons ce terrain militaire « défense d’entrer », puis nous passons à nouveau dans les champs afin de parvenir à Tremblecourt. Quelques bâtisses, grotte et escaliers nous permettent de réaliser quelques photos.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A son terme, nous longeons une propriété privée, c'est un espace naturiste de Domèvre-en Haye dont peu connaissent l'existence. Ce parcours en boucle de 13,880 km nous a permis de découvrir sans une goutte d’eau un secteur plaisant à voir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Choix et GPS : Alain Ge

photos Serge et Alain Gu et commentaire : Alain Gu

 

28 randonneurs tracent leur chemin

sur Marbache ce mardi 7 mars 2023.

Malgré deux retardataires, le départ de la rando en boucle est donné par le soldat poilu de Marbache. Ce circuit nous emmène dans le faubourg St-Nicolas pour découvrir quelques points d’intérêt de cette localité (les maquettes des monuments marbichons et le calvaire de la rédemption de 1894).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A la sortie du village, un petit arrêt pour regarder des gallinacés et un poney qui sympathise avec Claudine.

 

 

 

 

 

 

 

 

Ensuite nous nous défoulons sur un chemin boisé avec un faible dénivelé en direction de Saizerais.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au niveau de la composterie du bassin de Pompey, nous nous regroupons avant de poursuivre notre route.

 

 

 

 

 

 

 

Nous repartons sur une petite allée fort agréable. Soudain un groupe d’adeptes de cette discipline venant de Nancy (ARSEM) nous croise et sympathise. Mais notre temps est précieux, il faut continuer. Nous pénétrons dans le bois de Marbache en empruntant des sentiers forestiers environnants et des tranchées. 

 

 

 

 

 

 

 

 

Puis comme toute peine mérite salaire, nous nous octroyons un temps de pause pour savourer des chocolats, des friandises et nous désaltérer.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous quittons ce lieu dégustatif et nous continuons sur ce sentier borné et resté champêtre. Sur notre passage, nous profitons des champignons comestibles qui poussent sur les arbres comme décoration. Anne Marie J et Martine essayent ces chapeaux tendances pour les porter cet été.

 

Les 3 derniers kilomètres se font gentiment par une descente et nous permet d’apprécier un vaste paysage sur la vallée de la Moselle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous continuons notre périple sur le versant. Des anciennes carrières associées à une cavité souterraine de minerai de fer comprennent une excavation en fosse profonde de plusieurs mètres. Ce paysage est titanesque, voire dangereux. Cela nous permet de réaliser deux photos de groupes.

La quantité

La qualité

Mais bientôt, nous apercevons le village de départ. Nous descendons à la queue leu leu par le sentier des jardins Chaparts et par une petite ruelle qui rallie le parking du cimetière. En conclusion, cette sortie du mardi nous a permis de prendre l’air sur 9,860 km, et a connu un franc succès.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Choix et GPS : Alain Ge

photos : Serge et Alain Gu et commentaire  : Alain Gu

09 participants 

La rando c’est l’pied

à Limey-Remenauville.

 

Ce jeudi 2 mars après-midi nous sommes à l’effectif de 9 (4 femmes et 5 hommes) pour cette randonnée lancée depuis le parking de la mairie. C’est sous un ciel de couleur azur et une sonnerie harmonieuse de l’église de la Nativité-de-la-Vierge que le petit groupe traverse Limey-Remenauville. Le bâti du village date de la reconstruction après la guerre de 14-18.

 

D’après Alain Ge, le parcours ne présente aucune difficulté donc pas de montée, que des faux plats. En conséquence, nous empruntons avec le sourire aux lèvres un agréable chemin qui traverse la vallée d’Ansoncourt composée de grandes parcelles diversifiées pour la culture paysanne.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Des tas de pierres issues des terres agricoles servent de refuge pour des reptiles ou des mammifères. Mais aujourd’hui, ce monticule se prête à la photo de groupe des marcheurs du jeudi. Le plus difficile c’est de redescendre sans tomber. 

 

Nous contournons le bâtiment de l’exploitation rurale et récupérons le bois de Mort-Mare en errant en pleine nature.

Nous voilà à l’intérieur de cette forêt qui n’a pas complètement disparu lors des combats de la 1^ère guerre mondiale. De nos jours, la strate est constituée de chênes, de hêtres et de charmes. Nous empruntons des allées légèrement goudronnées qui ont servi à l’ancienne base de l’Otan. Certains bâtiments abandonnés étaient équipés de WC turque.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous sillonnons à l’intérieur de ce lieu de mémoire où se trouve encore plusieurs tranchées, des ouvrages et surtout des obus délaissés. Ce secteur fût des plus disputés par chacun des belligérants car ces positions permettaient de contrôler les axes routiers et les lignes de chemin de fer. En avril 1915, plusieurs assauts français se sont soldés par des échecs sanglants.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous débouchons sur la plaine et nous passons à travers champs évidemment sur une sente, il n’est pas question de piétiner les cultures.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au-dessus de nous, nous avons la chance d’admirer la gracieuse migration d’oies sauvages.

 

 

 

 

 

 

 

Nous rallions notre point de départ par des chemins campagnards et la rue St Pierre avec une pause à l’ancien gayoir de Limey.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour parachever cette belle balade en boucle de 13,710 km, Alain Ge nous offre ses derniers beignets de carnaval.