15 candidats pour cette marche au départ du monument aux morts d'Arnaville.

Comme le ciel est clair,le temps agréable, nous décidons de commencer par le tour du Rudemont long de 3km

Très beau coup d'oeil sur les vallées

Vraiment plaisant aujourd'hui, le regard porte loin sur la vallée de la Moselle vers le sud

et sur elle du Rupt-de-Mad vers l'ouest, on comprend bien pouquoi ce site a été très fréquenré dès la Préhistoire

Une fois passé le Col du Rudemont nous suivons le balisage du GR 5 par les bois

communaux d'Arnaville et de Bayonville

Petite halte où aujourd'hui, plus que d'habitude, les boissons et friandises abondent

Il est vrai que nous sommes le 6 décembre, jour de la Saint-Nicolas, patron de la Lorraine.

Arrive ensuite la raide descente caillouteuse sur Bayonville, mieux vaut être vigilant, pour éviter la chute.

Petite halte au bas de la pente pour se regrouper

Traversée de Bayonville sur Mad, coup d'oeil au passage sur l'église un des aîtres fortifiés de la vallée.

( nous avons vu qu'un itinéraire était balisé pour aller sur ces sites))

Pour en savoir plus:

Les aîtres médiévaux de la vallée du Rupt-de-Mad

Ensuite retour tranquille par la retenue, arrivée au parking juste avant la nuit.

18 présents au bord du Rupt de Mad pour ce parcours classique.

Par chance la pluie du matin a passé son chemin, mais entre étang et voie ferrrée

les flaques à éviter ne manquent pas.

Après Bayonville, montée vers le Bois Malherbe et arrêt à la cabane du "Coup d'Oeil"

Après un parcours dans le bois, redescente sur Arnaville par le Fond de L'Aulnois

nouvelle traversée du cours d'eau pour revenir au parking.

Balade sympa, avec des courants d'air frisquets par endroits.

Pas vu ces herbes folles, ce n'est vraiment pas la saison

15 présents au rendez-vous du parking de la Croix Rochas fixé par Jean-Luc pour suivre le circuit en huit

qu'il a choisi par les nombreuses allées goudronnées de cet ancien dépôt de munitions des Américains.

(Avantage du goudron en automne : pas de chaussures à nettoyer)

A proximité un grand entonnoir

Explication sur un panneau: il s'agit du

résultat de l'explosion d'une sape de la guerre de 14-18

Les équipes de tunneliers étaient généralement constituées de soldats qui étaient mineurs dans la vie civile. Celles-ci creusaient des tunnels sous le no man's land jusqu'en dessous des tranchées adverses. Ces tunnels étaient remplis d'explosifs et leur explosion provoquait un large cratère. Cette explosion pouvait avoir deux objectifs, d'une part détruire la tranchée ennemie pour former une brèche mais elle pouvait également former une tranchée prête à l'emploi à proximité de l'adversaire. Lorsqu'une mine explosait, les deux camps faisaient la course pour occuper et fortifier le cratère. Si les mineurs détectaient un tunnel ennemi en progression, ils lançaient souvent la construction d'un autre tunnel appelé contre-mine ou "camouflet" destiné à être rempli d'explosifs pour détruire le tunnel adverse. Des raids nocturnes étaient également menés dont le seul objectif était la destruction des tunnels ennemis. Parfois, deux tunnels se croisaient, ce qui donnait lieu à des combats souterrains.

Essayons d'imaginer l'enfer que ces hommes ont vécu....

Sur les chemins du labyrinthe de Mort Mare

Au retour sur la table de l'aire de pique-nique, nous attendaient quelques bouteilles et des pâtisseries

apportées par Lucien pour fêter son anniversaire et la naissance d'Amandine sa petite fille.

Petite cérémonie bien sympathique alors que la nuit commence à étendre son manteau sur la forêt qui nous

entoure, il n'est que 17 h 30, c'est l'automne, mais la balade sous le soleil fut bien agréable.

23 présents au départ de la Pl. St-Antoine, un peu d'attente car plusieurs ont eu des difficultés

à trouver une place de parking.

Par le bord de la Moselle et du canal, direction le Nord jusqu'au pont sous Norroy.

Pour tromper l'attente, André taquine un peu, non pas le goujon, mais un cygne.

Petite pause avant d'entrer dans la réserve des étangs domaine des chevaux Konik Polski

Pas effarouchés, ils s'approchent sans agressivité, plutôt pour quémander une friandise

Nous avons continué en suivant leurs traces sans nous rendre compte que nous nous écartions du

chemin principal qui longe la Moselle, un petit aller-retour dans la gadoue, ça n'a jamais tué personne !

Après quelques passages de clôtures, élégamment soulevées par Richard, et refermées avec précaution

nous regagnons le chemin de hâlage.

A 18 heures, au croisement de la rue Marguerite d'Anjou, il fait nuit...

Malgré la petite erreur, ce fut néanmoins une bonne balade par temps doux,

sans dénivelés, ce qui n'est pas pour déplaire à certains ou plutôt à certaines.

22 candidats au départ du Pétant pour ce circuit au coeur du Bois Leprêtre concocté par René.

Nous sommes ici au milieu du champ de bataille qui connut de violents combats en 1915

Pour en savoir plus le site de

Tourisme et Loisirs au Père Hilarion

Et  à la mémoire de tous ces soldats fauchés en pleine jeunesse après bien des souffrances

La chanson du Bois Le Prêtre

La chanson de Craonne