Choix et GPS : Alain Ge

Photos : Marie-Annick

 

Circuit du Buzion,

pour nos 11 randonneurs ce mardi 11 juillet

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Choix et GPS : Alain Ge

 photos et commentaire : Serge

10 participants

 

Rando du jeudi 6 juillet,

en forêt domaniale de l’Avant-Garde

Une fois n’est pas coutume, nous partons le matin à la fraîche arpenter les chemins de la région. Aujourd'hui notre balade débute au cimetière de Marbache pour nous emmener au Plateau de l’Avant Garde à Pompey.

 Nous commençons par emprunter des petits chemins entre les maisons de la ville, puis des sentiers herbeux pour enfin longer la nationale 57.

Au bout de 500m nous nous enfonçons dans les bois où nous apprécions la fraîcheur. Nous arrivons au lieu-dit "les Chevreuses" où un bâtiment désaffecté aiguise la curiosité des dames. Ce bâtiment appartenait à l’ancienne mine de fer de Marbache, qui connut un essor important en 1850 et fermée en 1957, dont nous passons devant.

Cette mine donna naissance à la "Société des Mines de Marbache" et, parallèlement, pour la transformation du minerai, "la Société Métallurgique" qui deviendra "Fonderies de Pont-à-Mousson" et qui acquerra une renommée mondiale.

Notre chemin se poursuit sous le couvert des arbres jusqu'au Plateau de l’Avant Garde où Jean cherche à comprendre l’utilité d’un panier de basket. Nous visitons les ruines du château où Marie-Annick pose au pied de la "Tour Malcouverte "

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Notre chemin nous ramène tout en douceur vers notre lieu de départ. En cours de route nous nous arrêtons devant une stèle à la mémoire d’un soldat américain tombé en ce lieu lors de la libération de Pompey.

 

 

Nous arrivons enfin à notre point de départ après avoir traversé des champs de blé et de tournesols.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Choix et GPS : Alain Ge

Photos : Chantal C, Marie-Annick, Serge et Alain Gu et commentaire : Alain Gu

 

Escapades aux Eparges,

cicatrices de la Grande Guerre

et le château d’Hattonchâtel

 

C’est avec un grand plaisir que les 35 randonneurs du club de Lesménils se retrouvent mardi 4 juillet au cœur de la Woëvre où est situé le village des Eparges où a combattu Maurice Genevoix, académicien.

09 heures, départ en voiture direction la colline maudite des Eparges. Quelques minutes plus tard, la randonnée pédestre menée par Alain Ge commence sur les sentiers du champ de bataille où nous passons devant plusieurs monuments et lieux évoquant la Grande Guerre. Ces différents sites conservent la mémoire des terribles combats de 1915 et porte toujours les cicatrices de la guerre des mines.

 

 

 

 

 

 

 

 

 Le 1^er monument est dédié aux soldats du 106 RI, morts aux combats (300 tués, 300 disparus et 1000 blessés). De forme pyramidale, ce tombeau en pierre blanche est dominé par une tête humaine portée par des mains décharnées sculptées.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le 2ème « Monument du Coq », a été érigé sur le site en 1924. Il s’agit d’un obélisque reposant sur un piédestal à gradins, surmonté d’un coq gaulois de bronze.

 

 

 

 

 

 

 

 

La nécropole nationale dite « le Trottoir » rassemble les dépouilles de soldats morts pour la France lors des combats des Hauts-de-Meuse de 1914 à 1918. Créé en 1915, il fut réaménagé successivement de 1922 à 1934 pour accueillir les corps des poilus décédés dans ce secteur. Le site regroupe 2960 corps de soldats français dont 852 en ossuaire.

 

 

 

 

 

 

 

 

Comme beaucoup de petits villages meusiens, les Eparges étaient avant 1914 une petite commune bordée de champs et de vergers, traversée par le ruisseau du Longeau, où la vie se menait paisiblement au rythme des saisons. Puis, le 17 février 1915, le canon tonne plus fort. Quatre entonnoirs de mines rappellent les rudes combats. Les explosions forment des cratères, encore bien visibles actuellement. C’est le no mans’land.

L’élévation d’un monument commémoratif à la gloire du génie rend hommage aux soldats de la guerre souterraine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ensuite, ce circuit nous conduit sur les hauts-lieux de la terrible bataille. L’étape suivante, le Point X fût le théâtre de corps à corps féroces entre Français et Allemand. Le jeune Sous-Lieutenant Genevoix a été blessé grièvement en avril 1915 par trois balles allemandes, lors d’une attaque de la tranchée de Calonne. Le paysage de la crête offre une vue imprenable sur la plaine de la Woëvre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En redescendant de la crête, nous nous dirigeons vers Saint-Rémy-la-Colonne, mais avant, se dresse un grand blockhaus allemand. Notre guide ‘Chantal’ nous attend pour la visite de l’intérieur de l’abri.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous poursuivons notre virée en progressant à travers bois. Dans la montée, la file s’étire mais d’un pas décidé et ferme, malgré la chaleur, nous rejoignons nos véhicules après 8,230 km. C’est ainsi que se termine cette nouvelle histoire à l’allure de musée. Belle initiative d’Alain Ge pour cette superbe rando-découverte appréciée de tous. Nous garderons en tête de bons moments et pourrons expliquer à ceux qui le désirent, ce que la guerre a détruit.  En raison du temps accordé pour la 2^ème marche prévue l’après-midi en l’honneur d’Alain Fournier, victime de cette guerre, notre animateur a promis au groupe de revenir ultérieurement.

 

 

 

 

 

 

 

 

Pique-nique à Heudicourt-les-Côtes

Nous déjeunons confortablement installés autour de plusieurs tables sur l’aire Heudicourt située dans les côtes de la Meuse et le lac de la Madine sous une température au top. Aujourd’hui, la pluie n’est pas au rendez-vous comme d’habitude.

Tour de table

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Gisèle et Marc sur l’aire de jeu.

Une fois avalé notre pique-nique direction le château d’Hattonchâtel où nous avons rendez-vous avec un guide.

 

Hattonchâtel, joyau sur éperon rocheux

 

Nous découvrons Hattonchâtel qui est l’un des rares villages perchés de Meuse. Représentant de la Région Grand Est, la petite localité termine à une belle 5^ème place de l’émission « le village préféré des français ».

Le château médiéval d’exception, devenu hôtel de luxe nous accueille pour nous faire découvrir hélas seulement les extérieures de ce chef-d’œuvre, le parc et un panorama exceptionnel sur la plaine de Woëvre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette journée découverte se poursuit allégrement dans les ruelles de ce bourg, puis par les visites de l’église Collégiale « Saint Maur » avec son célèbre retable gothique et son cloitre. Le site est magnifique, mais nous devons repartir à nos domiciles, enchantés de cette sortie. Chacune et chacun garderont de ces lieux de visite, un excellent souvenir.

 

 

 

Choix et GPS : Alain Ge

 photos et commentaire : Serge

 

 C'est à 8h30 tapantes que nos 9 courageux « les lève-tôt » prennent le départ de Jezainville pour une randonnée de 13,3km dans la forêt de Puvenelle. 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous attaquons par le Chemin d’Espagne pour prendre une montée qui nous mène à l’ombre des sous-bois. L’essentiel de cette rando se fait dans le bois où nous profitons de la quiétude et de la fraîcheur de cette forêt.

Nous profitons d’une clairière pour nous désaltérer où virevoltent une multitude de papillons orangés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En cours de route, Jean pense trouver fortune en explorant un coffre-fort abandonné au milieu de nulle part.

Et c'est en lisière du bois que nous trouvons l’endroit idéal pour prendre la photo de groupe.

Retour sur Jezainville où nous nous arrêtons au lavoir avant de longer le Ruisseau d’Esch recouvert par endroit de nénuphars.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Arrivés à notre point de départ à midi pile, nous fêtons la St Jean, sans mettre le feu au bûcher, trop risqué par ces temps de sécheresse. Gisèle et Jean nous concoctent un excellent casse-croute et nous offrent une boisson rafraichissante bienvenue après cette rando. C'est en les remerciant que nous nous quittons en nous donnant rendez-vous mardi aux Eparges. 

 

 

 

 

Choix : Bernard L et GPS : Alain Ge

photos : Chantal C, Serge et Alain Gu et commentaire : Alain Gu

 

Belle rando à Liverdun,

Cité médiévale fortifiée dominant une boucle de la Moselle

et son produit local et de terroir : les Madeleines

 

Ce dernier mardi du mois de juin, 27 randonneurs se retrouvent à Liverdun, berceau de ce petit bijou de gourmandise réputée depuis 1870 pour la fabrication des Madeleines. Comme à leurs habitudes, le sourire et l’humour sont de marque pour nos deux liverdunois (Chantal et Bernard L) qui nous accueillent chaleureusement sur l’Esplanade du vieux Moulin.

Pour commencer, notre coach se trouve être Bernard L qui nous a concocté un nouveau parcours enrichissant avec des incursions en pleine nature et une visite de la cité médiévale.

C’est vers 14 heures et des poussières que le groupe se lance dans un premier temps sur la voie verte de la boucle de Moselle qui est très accessible à tous. Cette initiative permet de se cultiver sur (le bief du moulin et l’ancien canal).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ensuite, nous arpentons le chemin de « Marie-Thérèse » qui a vu le jour récemment grâce par à des amoureux de la randonnée. Avec des boucles forestières, nous profitons, grandeur nature, d’une palette variée d’ambiances boisées et nous découvrons des espaces naturels sensibles. Malgré cette montée légèrement éprouvante mais qui offre, à son terme un panorama saisissant de la vallée de la Moselle et le village médiéval.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Notre périple continue par une piste qui nous permet de rejoindre la civilisation, c’est-à-dire découvrir la ville haute (la Provence) pas à pas dans des quartiers composés de maisons individuelles, de commerces et d’entreprises. 

 

 

 

 

 

 

 

 

Puis une incursion dans une zone boisée, composée de sentiers balisés nous conduit à notre 2^ème difficulté de cet après-midi « la roche Barbotte ». 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comme le site est magnifique, nous en profitons pour réaliser la photo de groupe.

Le redémarrage se fait progressivement à travers des sentes et une route bitumée afin d’arriver à l’ancienne résidence d’été des Evêques de Toul au XVIIIème siècle. Mais avant nous traversons la ville Haute qui regorge d’un riche patrimoine que nous apprécions au fil du circuit grâce aux panneaux explicatifs de cette merveilleuse épopée, comme la Porte Haute, la Maison du Gouverneur, l’Hôtel de Camilly, l’Eglise Saint-Pierre, ses ruelles, etc. Cette belle leçon d’histoire se lit dans ces monuments car Liverdun a su conserver ses lieux remarquables construits à différentes époques.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette belle petite balade de 7,090 km se clôture dans le parc du château Corbin par une dégustation de véritables Madeleines du terroir, des gavottes, du cidre et du jus de fruit. Aujourd’hui, c’est la vie de château pour les marcheurs qui se sont régalés. Un grand Merci à la famille Leclerc pour cette délicate attention. Nous les remercions très vivement.