Choix et GPS : Alain Ge

 photos et comentaire  : Alain Gu

 

Anne-Marie J, Martine, Eliane, Françoise

Alain Ge et Alain Gu

foulent les sentiers des aîtres médiévaux

et découvrent un patrimoine architectural unique en Europe

 

Bayonville-sur-Mad, petit village rural sympathique, qui baigne dans la basse vallée du Rupt-de-Mad, est le point de départ de cette randonnée du mardi 25 juillet. Toujours est-il que nous ne sommes que six marcheurs, mais qu’importe car ce sont les meilleurs et les plus valeureux qui sont là, bien sûr !

Il est vrai que la pluie n’est annoncée qu’en milieu de matinée, ça incite à démarrer notre rando en traversant le pont qui enjambe le Rupt-de-Mad et à cheminer vers Villecey-sur-Mad. Ensuite nous nous élançons sur le chemin plat longeant à droite le cours d’eau et à gauche la voie ferrée sous le regard intéressé de bovidés qui souhaitent gonfler les effectifs de notre petit groupe.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une petite piste agricole qui nous fait certes grimper gentiment sur 1 km nous récompense par un panorama sur la base vallée du Rupt-de-Mad qui compte 5 villages possédant des aîtres fortifiés.

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous quittons le GRP et un petit bonhomme en pierre nous indique que nous sommes à Villecey-sur-Mad. Nous en profitons pour goûter nos premières mirabelles de Lorraine. Hélas, l’or jaune n’est pas encore sucré !

 

 

 

 

 

 

 

 

Après avoir traversé cette localité, nous rejoignons Waville grâce aux deux ponts qui passent au-dessus de la rivière et d’un chenal qui alimentait autrefois un ancien moulin.

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous continuons notre périple dans ce petit village orné de décorations reproduisant des petites montgolfières. Ce thème se prête actuellement pour deux photos de groupe, en l’honneur du mondial air ballons (GEMAB).

Puis une pluie fine s’invite dès que nous cheminons à pas lents sur un chemin de contournement qui permet de découvrir les jardins et l’arrière des maisons d’Onville.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une petite pause nous oblige de visiter l’intérieur du lavoir pour nous ressourcer et regarder un ensemble défensif en forme de fer à cheval, composé de bâtisses, dont le clocher de l’église Saint Rémy d'Onville faisait office de tour fortifiée.

 

 

 

Aujourd’hui la vaillance est notre devise, c’est pourquoi nous arpentons notre seule montée qui sert de tronçon entre Onville et Vandelainville. Ce sentier a été restauré et nettoyé pour permettre aux randonneurs d’admirer sur notre passage la croix Terrière appelée la croix Cassée datant de l’an 1826, la restauration de murs en pierre sèche et un mollusque.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vient ensuite une descente qui s’effectue tranquillement par des chemins caillouteux et herbeux en passant à l’arrière du château de Remonvaux. C’est ainsi que le groupe termine cette belle virée de 9,210 km à Bayonville-sur-Mad. Même si nous avons dû subir un petit crachin fort rafraîchissant, merci à notre animateur de nous avoir fait découvrir ce nouveau circuit chargé d’histoire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Choix et GPS : Alain Ge

 photos et commentaire : Alain Gu

 

Un groupe de randonneurs

à la découverte de la tour du Crany et de ses mystères

sur Eulmont

 

Ce jeudi 20 juillet, nous sommes 9 marcheurs

à être sortis du lit pour être présents à 08 heures 30 sur le parking de l’église Saint Pierre de Faulx.

 Après avoir ajusté nos chaussures, chapeaux, casquettes et lunettes de soleil, nous voilà partis en direction de la forêt communale d’Eulmont par une montée assez raide. Ce circuit propose de découvrir la vallée de la Mauchère.

 

 

 

 

 

 

 

 

Au sommet de la colline, il fait beau, pas trop chaud, le temps idéal pour profiter de la forêt. Le rythme de notre rando est plein de souplesse et de vitesse même si on a des contrôles inopinés sur le parcours.

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous profitons d’un petit arrêt pour nous ressourcer, nous alimenter et papoter.

 

 

 

 

 

 

 

  

Nous repartons d’un bon pas sur plusieurs kilomètres. Un trou béant découvre un oléoduc de gaz en cours de réfection.  Et voilà que nous nous approchons de ce qui est : la croix des pestiférés. Elle est dédiée aux victimes de la peste noire qui s’est déclarée dans la région au XVIe siècle. Autrefois ce lieu a servi de cimetière.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain Ge qui sent bien que cette marche est facile, nous offre avec notre accord un sentier pentu de 400 mètres en direction de la tour Crany très mystérieuse dont on y ignore pratiquement tout : son origine et son utilité. Pourtant il paraîtrait que vers 1630 cette bâtisse permettait au Duc de Lorraine, grand chasseur, de guetter le gibier car les sangliers et les chevreuils venaient boire dans un petit étang situé à quelques mètres de là. Quoi qu’il en soit, c’est un bel endroit pour la balade pédestre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Encore un bout chemin dans le bois de Montenoy et c’est une descente panoramique avec vue sur la vallée qui nous permet de rejoindre la voie verte de la Vauchère.

 

 

 

 

 

 

 

Nous terminons notre escapade vers notre point de départ en suivant le tracé de l’ancienne voie ferrée « Nomeny/Pompey ».

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

Mais avant de quitter les lieux, Bernadette et de Jean-Pierre nous invitent pour un moment de convivialité sur le parvis de l’église qui sert de terrasse à un apéritif dînatoire typiquement alsacien.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Choix et GPS : Alain Ge

Photos : Gégé et Alain Gu - commentaire : Alain Gu

 

La dynastie Tournesol randonne

dans la Petite Suisse Lorraine

 

Toujours animés de la même joie de se retrouver, 12 de nos randonneuses et randonneurs se sont retrouvés ce mardi 18 juillet à Martincourt. Notre animateur Alain Ge a voulu nous montrer le riant petit village, coquettement blotti au parfum de bout du monde dans un méandre de l’Esch.

 

 

 

 

 

 

 

 

Progressant en plaine agricole, puis dans la nature verdoyante au cœur de la Petite Suisse Lorraine, nous découvrons notre 1^ère montée située dans le bois de la couleur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au sommet du plateau, une halte s’opère pour un petit rafraîchissement. Notre aventure se poursuit tranquillement sur un chemin blanc avant de rejoindre le bois de la Rappe.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous empruntons un nouveau chemin forestier très agréable à parcourir qui nous mène directement par une descente aux ruines du moulin Lajus ou du moins ce qu’il en reste.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une halte nous permet de réaliser une pause photo de groupe devant une cheminée en pierre authentique et ancienne.

Une passerelle de fortune installée par des bénévoles nous permet de franchir le gué du ruisseau de l’Esch en gardant les pieds au sec pour rejoindre le champ de tournesols.

Nous sommes fascinés par cette plante qui domine le paysage agricole.  Cette colline dorée nous rappelle que l’été est là.

 

 

 

 

 

 

 

Le retour s’effectue en remontant le bois Guyot en sens inverse par une nouvelle épreuve que nous surmontons car le chemin pentu habituel est remplacé par une côte accessible aux marcheurs du mardi.

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous longeons la zone boisée et les champs agricoles en avalant les kilomètres prévus « 9,670 km »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est ainsi que le petit groupe revient au point de départ sur Martincourt, satisfait par cette rando bucolique. Quelques étirements, changement de chaussures et distributions de courgettes et concombres.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Choix et GPS : Alain Ge

 photos et commentaire : Alain Gu

 

Ça sent la garrigue sur les pelouses calcaires

de Waville !

C’est dans le petit village de Waville que nos 7 marcheurs du jeudi se donnent rendez-vous pour une randonnée en boucle de 13,570 km. Nous nous élançons de la cave aux puces puis nous nous dirigeons vers l’église Saint Hubert, dont la fondation remonte au XIIIe siècle. Elle est la plus ancienne église-halle de Lorraine et fait partie de l’ensemble des aîtres fortifiés médiévaux de la vallée du Rupt de Mad.

 

La vraie rando commence par un petit sentier bien discret qui prend de la hauteur sur une vue plongeante du village. Le chemin est de plus en plus pentu quand le petit groupe traverse la partie boisée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous sommes récompensés de nos efforts en arrivant sur le plateau des pelouses calcaire, un corridor écologique très particulier qui ressemble à s’y méprendre à un paysage méridional.

Un sentier herbeux nous emmène à la Croix Joyeuse, visible depuis la vallée du Rupt-de-Mad. Ce monument religieux a probablement été érigé en remerciement d’une guérison concernant la peste.  Nous trouvons la quiétude en pleine nature. Là s’offre à nous un panorama sur les 28 arches du viaduc de chemin de fer en enfilade.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Nous reprenons notre périple en empruntant diverses sentes de la pelouse calcaire « en Garet », classée espace naturel sensible, qui s’étire le long de la D 28 et recouvre le versant Est de ce petit vallon sur 25 ha.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous voilà sur le chemin du retour où nous rencontrons des chasseurs en cette période afférés dans un mirador camouflé.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous faisons une petite halte coutumière pour nous désaltérer avidement et réaliser la photo de groupe sur une échelle d’affût.

Pour conclure cette balade nous cheminons sur une piste ombragée pendant quelques kilomètres avant de rallier notre bourgade de départ.

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Choix et GPS : Alain Ge

Photos : Marie-Annick

 

Circuit du Buzion,

pour nos 11 randonneurs ce mardi 11 juillet