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A Pont (Netto)
Nombreux pour un jeudi les marcheurs montent la rue De Gaulle à Maidières...
...virent ensuite sur le Chemin de Blénémont pour contourner le Centre de Recherches
et aboutir en haut de la rue Saint Martin à Blénod
Nous laissons sur la gauche une grande propriété: Saint-Martin-Fontaine qui était aux 16° et 17° siécles
rattachée à l'université de Pont-à-Mousson: Extrait de l'histoire de Blénod par J.Trouy:
Thibaut II (1239-1291), comte de Mousson, décide de fonder Pont-à-Mousson. Pour agrandir sa ville, il attira les habitants des villages voisins en leur accordant une charte leur octroyant certaines libertés. C'est ainsi que les habitants de Blénod furent à l'origine du quartier Saint Jean de Pont-à-Mousson. Par la suite, le développement de l'Université de Pont-à-Mousson, fondée en 1572, amena le moulin à eau des Bénédictins à se transformer en papeterie en 1604. C'est aujourd'hui, le site du Centre Michel-Bertelle. Il en est de même pour la propriété de Saint-Martin-Fontaine, ancienne maladrerie des Antonistes située sur notre commune, qui deviendra le lieu de repos privilégié des étudiants et professeurs de Pont-à-Mousson. La tradition raconte à ce sujet que des croix de pierre étaient érigées le long du chemin qu'empruntaient les étudiants pour se rendre à la propriété, afin d'inviter ces derniers à plus de sagesse. L'histoire ne dit pas dans quelle mesure cela s'est avéré efficace.
Très rapidement nous parvenons au-dessus de jézainville
Jusu'ici le parcours suivait les courbes de niveau et un sentier tracé récemment, maintenant
pour aller en Puvenelle il nous faut monter.
A mi-parcours, il ne faut pas traîner...
Après avoir rejoint la route blanche nous prenons par le parcours de santé et un sentier
qui nous amène au château d'eau au dessus de Maidères. A la descente il fait presque nuit.
Tags : pont, netto
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Commentaires
A la fin de la marche à Chatel,Balta nous montre son abdomineau de comptoir mais il est absent 2 jours plus tard,victime d'un tout petit rhume.PAUVRE BALTA ce n'est plus de l'accordéon que tu nous joues mais de la flute. Toujours le même