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A Pont Montrichard 2
Proposée et animée finalement par Alain Ge. (10 participants)
Photos et commentaire: Alain Gu
Circuit
de la Pierre qui bouge
Cet après-midi 15 novembre, nous sommes 10 randonneurs rassemblés sur le parking de la salle Montrichard de Pont-à-Mousson. (Photo 1)
Partis à 13 heures 30, sous un ciel couvert, nous entamons notre périple en empruntant d’abord le sentier « au-dessous de la Côte Chadevée » puis le chemin de « la Côte Chadevée » jusqu’à la voie de la Mère Guerre. (Photos 2 à 4)
Nous poursuivons notre randonnée au milieu de la forêt du Bois-le-Prêtre. Jacqueline, notre mono, teste notre technique pour mieux monter la corniche en marche sportive. (Photos 5 à 8)
Chacun peut se rendre compte que l’automne est bien là. Le thermomètre ne dépasse pas les sept degrés et de grandes nappes de brouillard s’étendent ici et là.
(Photos 9 à 12)
Après deux heures de rando, le groupe de marcheurs souhaite faire bouger la Pierre au Jô. Serait-elle d’origine mystique, religieuse, surnaturelle ? ou simplement extrait des carrières en même temps que d’autres pierres ayant servi à la construction de la cathédrale de Metz et de l’aqueduc de Jouy-aux-Arches. Du haut de ce menhir, Alain GU nous explique que plus de vingt siècles nous contemplent. (Photo 13)
Ensuite, il nous faut traverser Norroy les Pont-à-Mousson. Tout d’abord nous descendons la rue de la carrière, puis la rue Saint Vincent, fleuries de Mahonia du Japon. Lors de notre passage quelques décors muraux attirent notre attention.
(Photos 14 à 18)
Après le passage à niveau, nous cheminons sur la voie verte « l’Echappée Bleue » le long du canal de dérivation de la Moselle. Le cadre est idyllique avec des vues sur des lieux connus (les silos à grains, les Prémontrés, la villa du Rieupt, (château Adt).
Photos 19 à 24)
Nous jouons les prolongations en empruntant le chemin de la Demi-Lune qui était l’un des bastions de la ville avec un passage privé. A cet endroit subsiste le vestige d’un portail que les propriétaires riverains fermaient le soir (Pierrot possède encore la clé). Au 19ème siècle, il existait une sucrerie ainsi qu’une industrie qui fabriquait des aiguilles à coudre et à broder. (Photo 25)
La grande marche du jeudi, un grand moment de rencontre sur les chemins et les sentes. Après 14,166 km (c’est sûr et vérifié par le GPS d’Alain Ge), nous atteignons heureux notre point de départ.
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