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Choix de l'itinéraire et relevé GPS: Alain Ge (7 participants)
Commentaire et photos: Alain Gu
Quatre marcheurs du Frep baladent
trois « MISS MADELEINE » de Liverdun
(Photo 1)
Ce jeudi 28 juin après-midi, 7 randonneuses et randonneurs (Mauricette, Anne-Marie et Lucien, Anne Marie J, Alain Ge, Françoise et Alain Gu et Bernard du club local) effectuent le tour de Liverdun en rejoignant les bords de la Moselle après avoir longé l’ancienne usine Lerebourg (conserverie de fruits et fabrication de confitures). Fermée en 2000, son architecture évoque un paquebot prêt à naviguer sur la Moselle. (Photos 2 et 3).
En randonnant sur la nouvelle voie verte, nous contemplons les remparts de la ville, le château du XII° siècle, une maison du style « Art Nouveau » et surtout nous apprécions la ville haute de Liverdun, résidence d’été des évêques de Toul. (Photos 4 à 9).
Sous le regard d’une aigrette, nous nous engageons sur le barrage d’Aingeray et rejoignons le bois du Vaurot avec des sentiers arpentés qui nous rappellent le massif vosgien. (Photos 10 à 15).
Notre pérégrination nous conduit devant le domaine des eaux bleues « fondation des jeunes aveugles et déficients visuels ». Ses activités recouvrent des ateliers de restauration (vannerie, cannage et paillage), fabrication de cannes blanches canadiennes, pliages de notices et horticulture. Ensuite nous nous arrêtons à proximité du château de la Flie, construit par un architecte nancéen, Louis Lanternier pour Nicolas Noël, industriel et patron de l’usine des Pompes Noël sur Liverdun. Le château est aujourd’hui une copropriété, divisée en appartements avec une chambre d’hôte. (Photos 16 et 17).
Après une petite halte pour se désaltérer, le groupe sous l’impulsion d’Alain Ge s’enfonce dans le bois de la Fourasse par des chemins ombragés sur plusieurs kilomètres. Pour atteindre nos véhicules stationnés sur le parking de l’ancienne usine St Gobain, nous franchissons le pont-canal, magnifiquement fleuri. (Photos 18 à 25).
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Choix de l'itinéraire et relevé GPS: Alain Ge
Photos Gérard C et Alain Gu
27 routards se retrouvent
ce mardi 26 juin à Heudicourt-sous-les-Côtes
Le matin vers 9 heures, Alain Ge emmène la vingtaine de marcheurs présents dans une boucle de 10 kilomètres autour de Heudicourt-sous-les-côtes, sous un ciel et une température au top !!! Ce petit village lorrain, située dans la plaine de la Woëvre, comptait avant 1914 de nombreuses vignes. Le raisin était acheminé vers la Champagne. Aujourd’hui le vignoble a été remplacé par des vergers de mirabelliers. (Photos 11 à 14).
Bon anniversaire à Jean-Marc
(Photos 15 à 21).
Pique-nique sur l’aire de jeux
(Photos 22 à 40).
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Choix de l'itinéraire et relevé GPS: Alain Ge (7 participants)
Photos: Alain Gu
Les marcheurs du Frep soutiennent les Bleus
(Photo 1)
C’est par un beau soleil et une température agréable, qu’une patrouille légère, composée de (Mauricette, Jacqueline et Pierrot, Anne Marie J, Alain Ge, Françoise et Alain Gu) s’élance sur ce nouveau parcours de Millery, ce jeudi 22 juin. 14 heures sonnant, nous arpentons les rues de ce petit village fleuri en direction de la Grande Fontaine, située sur la place des Mariés. Cet abreuvoir-lavoir fut réalisé selon le principe des anciennes halles en pas de bois du Moyen-Age. (Photos 2 à 8).
Après avoir traversé cette localité, nous cheminons sur un sentier herbeux par la côte de Creux pour atteindre le plateau du bois du chapitre offrant de beaux points de vue. (Photos 9 à 11).
Ensuite nous nous enfonçons sur des sentiers balisés de la forêt de la Rumont jusqu’à Malleloy. (Photos 12 à 16).
Pour le retour au bercail, nous empruntons l’ancienne voie ferrée jusqu’à Custines puis nous entamons notre dernière montée vers le plateau pour finir tranquillement cette sortie qui nous ramène sur le parking. (Photos 17 à 19).
Le parcours se termine avec la satisfaction générale d’avoir parcouru 14,384 km avec un dénivelé de 340 m dans la joie et la bonne humeur et surtout pour profiter de ces magnifiques paysages. (Photos 20 à 23).
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Choix de l'itinéraire et relevé GPS: Alain Ge (16 participants)
Photos Alain Gu.
Texte transmis par Alain Ge
Rando culturelle de Saint Jean du 19 juin 2018
Annexe 1 : Les Sources Saint Jacques et le Site préhistorique de Saint Jacques
Les sources furent aménagées au cours de la première guerre mondiale (on est à 7 km de la Croix des Carmes du Bois-le-Prêtre ; le front était tout proche).
Les premiers hommes se sont installés dans la forêt de Saint Jacques au temps de la préhistoire. Ils utilisaient l’éperon naturel découpé par deux vallées et l’avaient transformé en une enceinte fortifiée, grâce à un fossé ou vallum (point G) qui protégeait les arrières. Ce vallum devait être beaucoup plus important (5 mètres de hauteur) qu’actuellement pour permettre une défense efficace. De plus, les sources qui coulent au pied de la colline ont attiré les premiers hommes.
Annexe 2 : Les Jardins en Terrasse et le prieuré de Heymonrupt
Au-dessus des sources, nos ancêtres avaient aménagé des jardins en terrasse, encore bien visibles actuellement.
Le prieuré de Heymonrupt : Les Romains avaient bâti un grand axe de circulation de Lyon vers Trèves qui passait tout près de là, à Scarpone (Dieulouard). Cet itinéraire était emprunté par une foule de pèlerins en route vers Saint Jacques de Compostelle. Ceux qui n’allaient pas à Compostelle s’arrêtaient ici pour prier Saint Jacques et vénérer une statue miraculeuse qui n’existe plus actuellement (mais que j’ai encore vue, il y a environ 50 ans).
Au début du 12e siècle une abbaye a été construite en profitant du site de l’enceinte Celte. Du 12e au 14e siècles, une foire très fréquentée se tenait dans ce vaste carrefour verdoyant. On y venait de tous les villages avoisinants. Le commerce était très florissant. Ces petits centres commerciaux se groupaient autour d’une image vénérée de la Vierge qui était le but du pèlerinage. On imagine difficilement une foire en ce désert perdu dans les bois.
A partir de 1400 le nom gallo-romain de « Heymonrupt » fut remplacé par celui de « Saint Jacques » à cause du pèlerinage et de la statue vénérée.
Au cours de la guerre de Trente ans (1 618 à 1 648), la Lorraine fut ravagée et la foire disparut en 1 708. Tous les ans, une fête annuelle le premier mai (jour de la Saint Jacques) perpétuait les grandes festivités qui avaient lieu au prieuré. Il y a un peu moins d’un siècle les habitants allaient encore danser dans les bois (dont ma grand-mère paternelle). Maintenant, tout est en ruines.
Annexe 3 : Abri sous roche
Il constituait aux temps les plus reculés de notre histoire, les premières habitations de nos ancêtres.
Il possède deux entrées, une à chaque extrémité. A l’intérieur, on y tient facilement debout. Ses dimensions sont environ de 7 mètres sur 3 mètres.
C’est une diaclase qui, très probablement, est le point de départ de la formation de cet abri sous roche. A l’intérieur, le rocher est très friable, ce qui a permis la formation de la cavité (peut-être même des hommes ont-ils contribué à la rendre aussi spacieuse…)
Annexe 4 : Station de pompage (près du château d’eau)
A l’époque gallo-romaine, une route d’importance secondaire suivait le ruisseau de Saint Jacques (que l’on vient d’emprunter), traversait Saint Jean et rejoignait Manonville et Minorville en suivant le ruisseau d’Esche. Des pièces de monnaie romaine ont été découvertes lors de la construction du château d’eau. Trois sources débouchaient dans une cuvette circulaire (de l’autre côté de la route) et formaient un ruisseau souterrain qui allait rejoindre l’Esche (les soldats romains qui partaient en mission lançaient une pièce de monnaie dans cette cuvette naturelle pour s’attirer la faveur des Dieux.
Photos d"Alain Gu
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Choix de l'itinéraire et relevé GPS: Alain Ge
8 participants: Martine G, Monique A, Jacqueline et Pierre N, Maryse et Alain B, Christian B, Alain Ge
Pas de photos
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